Les infrastructures ou les interfaces portuaires bénéficient parfois d’un potentiel de résilience qu’il s’agit de développer, en tant que supports de connexions écosystémiques.
Du grand paysage aux micro interventions paysagères, le changement d’échelle est fréquent, pour développer un paysage inspiré des écosystèmes naturels, en évolution permanente et ouvert à la rétroactivité,
Au delà d’une simple démarche environnementale, la ville devient résiliente en diminuant son empreinte écologique, et en tissant des liens interdisciplinaires. La dimension alimentaire (et donc agricole) a vocation à s’inscrire au cœur de cette démarche de mise en résilience. L’enjeu est la mise en place d’un paysage productif, multifonctionnel, voir une ville comestible.
Il s’agit de mettre en place processus de réparation urbaine constante, au moyen de diverses stratégies, tout en impliquant les principaux concernés
Dans le cadre d’études de faisabilité, programmation, schémas directeurs et Assistance à Maîtrise d’ouvrage,
…ou par l’intermédiaire de micro-interventions urbaines collectives.